La verte Ballancourtoise sonne le rappel des troupes après
la période estivale. Cette rando est considérée comme l’une des plus belles d’Ile
de France et ne cesse de s’améliorer d’année en année. Pour la 10éme édition
les p’tits gars de Ballancourt ont bossés comme des dingues pour nous dégoter
de nouveaux singles, voire de les créer de toute pièce comme le « Nity Nine »,
bref le programme s’annonce alléchant. Dans la semaine JP lance un défit surnomé « descente du Canyon » une belle petite marche dans un
micro single pentu et tortueux, la pression est sur les épaules de l’Homo-Spectrale, "le pied tu ne poseras, sur le vélo tu resteras".
Départ de la maison au aurore, la campagne est couverte de
brume d’été, indiquant des températures et un taux d’humidité élevés, mauvais
pré-sentiment je suis très sensible à ces conditions, d’autant que la veille j’ai
accompagné ma femme pour sa séance de cap et tous les coureurs présents souffraient de ces ces conditions. Après m’être garé dans un champ de betteraves, je
file aux inscriptions ou je retrouve Bastien déjà sur le pied de guerre, il est
7h15 et Xav est déjà parti, contrainte horaire, dommage. Le reste de la troupe arrive JP, Alain, les gars St Michel (Oliv, Philippe, Ludo…)
et mes amis routard de l’AAOC (Francky, Eric, les cousines Bruno et Marco) et surprise notre jeune recrue Sébastien,
qui me demande si j’ai roulé cette semaine ?!! Inquiet de
la perf de dimanche dernier avec JP sur D’Huison, le garenne m’annonce avoir
roulé 200 à 300 klm/semaine ces deux dernières semaines, ça promet !! "d'inquiétudes tu n'auras".
Les retrouvailles (lien vidéo)
Il est 7h45 et tout le monde papote , "He les gars faudrait quand même y aller", c’est partie, après une traversé de Ballancourt tranquille on enquille le premier single d’échauffement, petite boucle en limite du village que l’on recroise rapidement avant d’attaquer les hostilités. Le team AAOC et Bastien ouvre la voie avec JP et Seb intercalés, je roule derrière avec les gars de St-Michel, le single du départ provoque les premiers bouchons et fait éclater le groupe aux grès des erreurs de parcours et des différences de niveau, difficile de trouver son rythme. Je vois des maillots AAOC sur une trace en surplomb, pensant à une erreur d’aiguillage de leur part je continue à rouler tranquille, quelques minutes après je suis sur la trace en surplomb ?!! merde on s’est fait décrocher, Ludo me confirme que l'on est bien les derniers. J’enclenche alors le turbo, les jambes sont bonnes malgré des sensations moyennes, saloperie d'’humidité en plus mes lunettes sont embuées, pas facile d'avoir des trajectoires propres . Le rythme est bon et les dépassements se succèdent, je retrouve les sensations de dimanche dernier (je jubile). Ce parcours est au top les singles plus ou moins technique s'enchaînent entrecoupés avec des parties plus roulantes, quelques flaques de boue mais rien de gênant, au fil des kilomètres je rattrape Franck, JP, Oliv et Seb, personne ne prend ma roue (rictus) je continue mon effort en espérant rattraper Bast et les gars de L’AAOC. A la sortie d’un petit single, fait au ralenti à cause de deux randonneurs pas pressés (je peste, me gâcher une merveille) fléchage à droite « Difficile » tout droit « Facile », chouette ils filent tout droit, je baisse ma selle et plonge, 10 mètres de pentue, un gauche/droite et la Marche du Canyon (que l’on croyais en fin de parcours ?!!) Oupsss !! avec mes lunettes embuées je découvre l’obstacle au dernier moment, je ne peux plus rien faire sous peine de me planter, je pousse sur le guidon et passe la marche, .......en vrac. Je file jusqu’au 1er ravito ou je retrouve Bast, Marco et Bruno, mais pas d' Eric ?!! 17,33 klm au compteur bouclés en 1h24. Le petit groupe se recompose mais toujours pas de JP et ça fait 10’ que je suis arrivé, il a dû avoir un problème. Eric arrive à son tour, il roulottait pensant être devant, il a du se louper. C'est le tour de JP qui a des problèmes mécaniques, dérailleur récalcitrant (chacun son tour hein mon JP ). Cela fait 15’ que je suis arrivé et je suis complètement froid, Bruno et Marco repartent, alors que Bast peine à refaire partir le petit groupe, Eric et Franck tardent un peu on ne les reverra plus. Nous voilà repartis, toujours les mêmes enchaînements que du bonheur, quel pied. Malheureusement nous croisons de nombreux vététistes en train de réparer, un organisateur nous signale que des clous ont été jetés sur le parcours (une nouvelle fois, car fréquent sur ce secteur), sur plusieurs kilomètres cela va être l’hécatombe, nous rattraperons Marco et Bruno victimes eux aussi d'une crevaison. Philippe commence à avoir des problèmes de transmissions qui le pénalise des que sa grimpe, il va finir par lâcher. Si mon cardio est placé et mes lunettes désembués, un mal de jambes insidieux s'est ’installé depuis le départ du ravito, au fil des kilomètres je subis de plus en plus laissant mes camarades faire le rythme, quelques éclaires de ma part, au grès des descentes (voir vidéo de JP à 1’30) ou sur un sprint pancarte "clin d’œil pour les routards » lancé par L’Homo-Spectrale suivit de Bast, Seb, puis JP en mode moulinette, que je vais régler sur le final après une séance d'ultra-vélocité (aux moins 130 rpm). Arrivé au second ravito, après une dernière descente tip top, très belle partie de 11 klm bouclé en 44’. Un peu de bricolage pour JP et on repart sur la boucle du 72 sans avoir revu nos amis de l’AAOC.
Cette boucle n’a peu d’intérêt, ajoutée par l’Orga pour les fans du kilométrage. Je ferais toute cette boucle en subissant et en laissant mes compagnons s’expliquer, entre Bast qui n’a pas beaucoup roulé, mais beaucoup nagé (tient je balance) qui dit manqué de fond et notre jeune recrue qui est de plus en plus affûté (300 klm/semaine), c’est beau la jeunesse (souvenir, souvenir) et notre JP débarrassé de ces problèmes techniques qui commence à placer quelques piques, retour au ravito 2 en 41’ pour 12 klm. Après un petit arrêt éclair nous repartons sur le bois de Videlles et les montagnes russes, je continue de subir et m’accroche tant bien que mal en faisant de l’esbrouffe sur les parties descendantes, mon mal de jambes ne me lâches pas et je me crispe de plus en plus dans le technique, dans une grimpette propice aux attaques, Bast et Seb s’éloigne c’est le moment ou JP venant de l’arrière nous place une attaque fulgurante dont il a le secret, il me double avec au moins 2km/h de différentiel, je tente de relancer, mais les jambes ne répondent pas, je me remet derrière Oliv qui commence à marquer le pas, pendant que JP dépose Bast puis Seb qui tente de réagir en le serrant un peu, mais rien à faire cette attaque Froomesque me laisse admiratif, quelle facilité, en haut de la cote JP ne relâche pas son effort et s’éloigne, Seb et Bast relance et essaye de combler le trou pendant que je m'accroche à la roue d’Oliv. Nous enchaînons quelques belles grimpettes et singles ou nous allons de nouveau être retardé par des gars quasiment à l’arrêt, nous arrivons sur un platière version Bleau, Oliv et moi sommes bloqués derrière deux gars, alors que Bast, Seb et JP s’éloignent, Oliv arrive à passer alors que je butte et ne trouve pas de faille, à chaque fois que je fais l’effort ils me bloquent et je commence à m’énerver, arrivé au bout le single une rupture de pente à gauche, le premier refuse et part tout droit alors que le second pile juste avant la marche, je le percute et tombe sur la droite sans pouvoir d’éclipser et deviner quoi ?!!! un jolie bloc de granite réceptionne ma hanche, le ton monte avec les deux gars « cool c’est qu’une rando » me lancent-t-ils, « OK man » chacun son niveau, mais tu me bloque volontairement depuis le début single …… bref ça chauffe surtout que je suis toujours bloqué sous le vélo et qu’aucun ne bouge. Un des deux me dégage enfin et je repars très énervés en passant la marche sans aucun élan (la fourche à bien talonnée). Oliv est loin maintenant, je roule à fond (avec les jambes du jours), arrive la première boucle supplémentaire du 58/72 qui part à droite, je n’ai pas rattrapé Oliv je décide de couper cette partie que je connais et continue sur le 50, j'engage une descente en sable ou je prodigue quelques conseils à un petit jeune en perdition dans ce sable meuble, il applique directement mes conseils et prend ma roue, je réaccélère un peu pour lui montrer qui est le patron, en bas il me remerciera, sympa le gars. Je bifurque à gauche pour filer sur la seconde boucle 58/72 de cette partie, encore un beau single montant qui replonge dans le val par une descente granitesque. Je roule vers le dernier ravito à bonne allure, avec moins mal aux jambes (l’adrénaline suite à la chute ?!!). Là je vais abuser du gâteau de semoule en attendant mes compagnons du jour. Partie écourté de 12,5 klm bouclé en 1h00. Nous repartons pour le final, le mal de jambes est toujours là avec en plus une hanche douloureuse, je n’arrive pas à rester fluide sur le vélo et je me crispe dans les passages techniques, comme Seb me le fait gentiment remarqué alors qu’il me suivait dans un single tournicotant en pleine pente (granit light). J’arrive à m’accrocher et compte bien finir avec eux, arrive une descente en terre blanche, pentue certes mais rien de méchant (on la voit dans la vidéo de JP), je me recule, trop, prends de la vitesse et n’arrive pas à contrôler ma trajectoire le roncier m’accueillera chaleureusement les bras ouverts, pas de bobos juste le bras droit bien éraflé par les épines acérées, Oliv me demande si ça va, je lui dit que tout va bien en prenant mon téléphone qui sonne (Grrrr ,on peut pas avoir la paix). Je repars avec Olivier, alors que JP, Bast et Seb se sont de nouveau échappés. Nous passons les derniers difficultés et le fameux single « 99 » fabriqué de toute pièce par l'organisation, magnifique un single « Larchant Approved ». Sur la fin je vais de nouveau être bloqué dans un single très boisé , les gars sont au ralentis, impossible de dépasser, se présente une descente bien pentue engagée trop vite ou je vais me faire peur et par la même occasion effrayer le photographe qui se trouvait là, je finis seul en coupant la dernière partie du retour au stade. Parcours de 68,63 klm bouclé en 4h27 de roulage soit 15,4 klm/h de moyenne pour 1182m de D+.
Il est 7h45 et tout le monde papote , "He les gars faudrait quand même y aller", c’est partie, après une traversé de Ballancourt tranquille on enquille le premier single d’échauffement, petite boucle en limite du village que l’on recroise rapidement avant d’attaquer les hostilités. Le team AAOC et Bastien ouvre la voie avec JP et Seb intercalés, je roule derrière avec les gars de St-Michel, le single du départ provoque les premiers bouchons et fait éclater le groupe aux grès des erreurs de parcours et des différences de niveau, difficile de trouver son rythme. Je vois des maillots AAOC sur une trace en surplomb, pensant à une erreur d’aiguillage de leur part je continue à rouler tranquille, quelques minutes après je suis sur la trace en surplomb ?!! merde on s’est fait décrocher, Ludo me confirme que l'on est bien les derniers. J’enclenche alors le turbo, les jambes sont bonnes malgré des sensations moyennes, saloperie d'’humidité en plus mes lunettes sont embuées, pas facile d'avoir des trajectoires propres . Le rythme est bon et les dépassements se succèdent, je retrouve les sensations de dimanche dernier (je jubile). Ce parcours est au top les singles plus ou moins technique s'enchaînent entrecoupés avec des parties plus roulantes, quelques flaques de boue mais rien de gênant, au fil des kilomètres je rattrape Franck, JP, Oliv et Seb, personne ne prend ma roue (rictus) je continue mon effort en espérant rattraper Bast et les gars de L’AAOC. A la sortie d’un petit single, fait au ralenti à cause de deux randonneurs pas pressés (je peste, me gâcher une merveille) fléchage à droite « Difficile » tout droit « Facile », chouette ils filent tout droit, je baisse ma selle et plonge, 10 mètres de pentue, un gauche/droite et la Marche du Canyon (que l’on croyais en fin de parcours ?!!) Oupsss !! avec mes lunettes embuées je découvre l’obstacle au dernier moment, je ne peux plus rien faire sous peine de me planter, je pousse sur le guidon et passe la marche, .......en vrac. Je file jusqu’au 1er ravito ou je retrouve Bast, Marco et Bruno, mais pas d' Eric ?!! 17,33 klm au compteur bouclés en 1h24. Le petit groupe se recompose mais toujours pas de JP et ça fait 10’ que je suis arrivé, il a dû avoir un problème. Eric arrive à son tour, il roulottait pensant être devant, il a du se louper. C'est le tour de JP qui a des problèmes mécaniques, dérailleur récalcitrant (chacun son tour hein mon JP ). Cela fait 15’ que je suis arrivé et je suis complètement froid, Bruno et Marco repartent, alors que Bast peine à refaire partir le petit groupe, Eric et Franck tardent un peu on ne les reverra plus. Nous voilà repartis, toujours les mêmes enchaînements que du bonheur, quel pied. Malheureusement nous croisons de nombreux vététistes en train de réparer, un organisateur nous signale que des clous ont été jetés sur le parcours (une nouvelle fois, car fréquent sur ce secteur), sur plusieurs kilomètres cela va être l’hécatombe, nous rattraperons Marco et Bruno victimes eux aussi d'une crevaison. Philippe commence à avoir des problèmes de transmissions qui le pénalise des que sa grimpe, il va finir par lâcher. Si mon cardio est placé et mes lunettes désembués, un mal de jambes insidieux s'est ’installé depuis le départ du ravito, au fil des kilomètres je subis de plus en plus laissant mes camarades faire le rythme, quelques éclaires de ma part, au grès des descentes (voir vidéo de JP à 1’30) ou sur un sprint pancarte "clin d’œil pour les routards » lancé par L’Homo-Spectrale suivit de Bast, Seb, puis JP en mode moulinette, que je vais régler sur le final après une séance d'ultra-vélocité (aux moins 130 rpm). Arrivé au second ravito, après une dernière descente tip top, très belle partie de 11 klm bouclé en 44’. Un peu de bricolage pour JP et on repart sur la boucle du 72 sans avoir revu nos amis de l’AAOC.
Cette boucle n’a peu d’intérêt, ajoutée par l’Orga pour les fans du kilométrage. Je ferais toute cette boucle en subissant et en laissant mes compagnons s’expliquer, entre Bast qui n’a pas beaucoup roulé, mais beaucoup nagé (tient je balance) qui dit manqué de fond et notre jeune recrue qui est de plus en plus affûté (300 klm/semaine), c’est beau la jeunesse (souvenir, souvenir) et notre JP débarrassé de ces problèmes techniques qui commence à placer quelques piques, retour au ravito 2 en 41’ pour 12 klm. Après un petit arrêt éclair nous repartons sur le bois de Videlles et les montagnes russes, je continue de subir et m’accroche tant bien que mal en faisant de l’esbrouffe sur les parties descendantes, mon mal de jambes ne me lâches pas et je me crispe de plus en plus dans le technique, dans une grimpette propice aux attaques, Bast et Seb s’éloigne c’est le moment ou JP venant de l’arrière nous place une attaque fulgurante dont il a le secret, il me double avec au moins 2km/h de différentiel, je tente de relancer, mais les jambes ne répondent pas, je me remet derrière Oliv qui commence à marquer le pas, pendant que JP dépose Bast puis Seb qui tente de réagir en le serrant un peu, mais rien à faire cette attaque Froomesque me laisse admiratif, quelle facilité, en haut de la cote JP ne relâche pas son effort et s’éloigne, Seb et Bast relance et essaye de combler le trou pendant que je m'accroche à la roue d’Oliv. Nous enchaînons quelques belles grimpettes et singles ou nous allons de nouveau être retardé par des gars quasiment à l’arrêt, nous arrivons sur un platière version Bleau, Oliv et moi sommes bloqués derrière deux gars, alors que Bast, Seb et JP s’éloignent, Oliv arrive à passer alors que je butte et ne trouve pas de faille, à chaque fois que je fais l’effort ils me bloquent et je commence à m’énerver, arrivé au bout le single une rupture de pente à gauche, le premier refuse et part tout droit alors que le second pile juste avant la marche, je le percute et tombe sur la droite sans pouvoir d’éclipser et deviner quoi ?!!! un jolie bloc de granite réceptionne ma hanche, le ton monte avec les deux gars « cool c’est qu’une rando » me lancent-t-ils, « OK man » chacun son niveau, mais tu me bloque volontairement depuis le début single …… bref ça chauffe surtout que je suis toujours bloqué sous le vélo et qu’aucun ne bouge. Un des deux me dégage enfin et je repars très énervés en passant la marche sans aucun élan (la fourche à bien talonnée). Oliv est loin maintenant, je roule à fond (avec les jambes du jours), arrive la première boucle supplémentaire du 58/72 qui part à droite, je n’ai pas rattrapé Oliv je décide de couper cette partie que je connais et continue sur le 50, j'engage une descente en sable ou je prodigue quelques conseils à un petit jeune en perdition dans ce sable meuble, il applique directement mes conseils et prend ma roue, je réaccélère un peu pour lui montrer qui est le patron, en bas il me remerciera, sympa le gars. Je bifurque à gauche pour filer sur la seconde boucle 58/72 de cette partie, encore un beau single montant qui replonge dans le val par une descente granitesque. Je roule vers le dernier ravito à bonne allure, avec moins mal aux jambes (l’adrénaline suite à la chute ?!!). Là je vais abuser du gâteau de semoule en attendant mes compagnons du jour. Partie écourté de 12,5 klm bouclé en 1h00. Nous repartons pour le final, le mal de jambes est toujours là avec en plus une hanche douloureuse, je n’arrive pas à rester fluide sur le vélo et je me crispe dans les passages techniques, comme Seb me le fait gentiment remarqué alors qu’il me suivait dans un single tournicotant en pleine pente (granit light). J’arrive à m’accrocher et compte bien finir avec eux, arrive une descente en terre blanche, pentue certes mais rien de méchant (on la voit dans la vidéo de JP), je me recule, trop, prends de la vitesse et n’arrive pas à contrôler ma trajectoire le roncier m’accueillera chaleureusement les bras ouverts, pas de bobos juste le bras droit bien éraflé par les épines acérées, Oliv me demande si ça va, je lui dit que tout va bien en prenant mon téléphone qui sonne (Grrrr ,on peut pas avoir la paix). Je repars avec Olivier, alors que JP, Bast et Seb se sont de nouveau échappés. Nous passons les derniers difficultés et le fameux single « 99 » fabriqué de toute pièce par l'organisation, magnifique un single « Larchant Approved ». Sur la fin je vais de nouveau être bloqué dans un single très boisé , les gars sont au ralentis, impossible de dépasser, se présente une descente bien pentue engagée trop vite ou je vais me faire peur et par la même occasion effrayer le photographe qui se trouvait là, je finis seul en coupant la dernière partie du retour au stade. Parcours de 68,63 klm bouclé en 4h27 de roulage soit 15,4 klm/h de moyenne pour 1182m de D+.
Bast arrive le
premier, cela tombe bien j’ai un présent à lui remettre pour sa petite
femme. Nous retournons à la voiture, lui
donne les paquets et lui demande de saluer les copains.
Super Randonnée qui ne cesse de ce bonifié tant au niveau
parcours que de l’organisation, très bien équilibré dans les enchaînements, variée dans la nature des terrains et des difficultés proposées, bref un super
moment de VTT. Que je propose de refaire rapidement en OFF, avec des jambes si
possible.
Le niveau du groupe est très homogène ce qui promet pour cet hiver, avec un Bast de plus en plus fort dans le technique qui nous la fait poker/menteur sur sa forme générale, un resserrement du niveau chez les masters et un "Felicite" pour Sébastien qu'il faudra s'habituer à voir devant.
Le niveau du groupe est très homogène ce qui promet pour cet hiver, avec un Bast de plus en plus fort dans le technique qui nous la fait poker/menteur sur sa forme générale, un resserrement du niveau chez les masters et un "Felicite" pour Sébastien qu'il faudra s'habituer à voir devant.
